Lali

Un amour qui ne s’estompera jamais.

Je suis si fatiguée en ce moment en raison d’un rhume et de problèmes oculaires que je passerais volontiers la journée au lit, à l’instar de la lectrice peinte par Alina Bugleeva. Ëtes-vous dans la même situation? Que ce soit le cas ou non, je vous propose cette semaine de nous raconter en vos mots ce que cette scène évoque pour vous, comme vous le faites si bien semaine après semaine.

Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc une semaine devant vous pour écrire quelques lignes, lire les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier et les commenter si vous le souhaitez. C’est avec plaisir que nous vous lirons.

D’ici là, bon dimanche et bon début de décembre à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.

Qu’ils lisent ou non, les personnages imaginés par Maria Laura Bratoz sont entourés de livres, de chiens et de chats.

J’ai eu beau chercher, pas de traces de cette encre, « la meilleure de toutes les encres » sauf cette affiche qui se retrouve dans un certain nombre de musées. Une illustration d’Eugène Grasset.

Mon amie Sofie me connait bien. J’adore les scènes de plage et je suis fan de Quint Buchholz!

Je crois qu’une existence d’homme, pour être bien remplie, doit consister à vivre les rêves de l’enfance. (Xavier Coste)

*toile de Celine Ali

Si vous passez un jour par la Caroline du Nord, pensez à vous arrêter à Winston-Salem. C’est là que vous trouverez cette cafetière géante, créée par les frères Mickey pour faire la publicité de leur minuscule boutique, sise sur la rue principale.

Le Panthéon, vu par Francisco Hidalgo.

Je ne lasse pas de faire des découvertes à même tout ce que j’ai amassé au fil des ans. Ainsi, cette fillette en rose et vert, peinte par un artiste inconnu, une carte postale envoyée en 1980.

Les souvenirs constituent le décor qui vous accompagne où que vous alliez. (R. J. Ellory)

*toile d’Oksana Alekhina