Lali

Lou m’a envoyé une bonne quantité de cartes postales provenant de sa collection personnelle. Un cadeau qui a une grande valeur pour moi. Je ne peux que la remercier du fond du cœur. Il y a des trésors parmi ces cartes.

Grâce à celle-ci, j’ai remonté le temps une fois de plus. Je me suis retrouvée en 1981 dans une pizzeria du vieux port de Marseille, qu’on voit très bien ici, en compagnie de Chantal, avec qui j’avais fait connaissance par l’entremise d’un magazine. Son projet de réunir des fans de Nicolas Peyrac n’a pas eu de succès, mais il a donné lieu à une dizaine d’années de correspondance et à une rencontre inoubliable.

J’ai tenté de la retrouver il y a quelque temps. Mais aucune trace d’elle sur la toile. Dommage que les femmes mariées ne conservent pas le nom qui leur a été donné à la naissance dans bien des pays d’Europe, ce qui complique beaucoup les recherches,,,

Lorsque j’étais libraire, je me réjouissais de la parution de chaque nouvel album des éditions NordSud. C’est donc avec joie que j’ai trouvé cette illustration de Bernadette tirée du Petit chaperon rouge.

Je connais très peu les toiles de Gustav Klimt oû ne figurent pas des personnages et pour lesquelles il est très connu. Je ne pouvais donc que me réjouir de trouver L’arbre de vie dans ma boîte à lettres.

Un bel ajout à ma collection de cartes postales mettant à l’honneur des machines à écrire. J’adore.

Il y a des thèmes dont je ne me lasserai jamais. Notamment les coquillages.

Voyager sans sortir de chez soi. C’est ce que permettent, entre autres, les cartes postales. Celle-ci m’a permis de me rendre à Lahti, en Finlande, et plus précisément au Sibelius Hall. Un décor impressionnant, non?

Alors que je viens à l’instant de valider les textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier, que je vous invite d’ailleurs et à lire et même à commenter, je vous propose d’entrer dans l’univers de l’illustratrice de Demelsa Haughton et de donner vie à cette image pleine de fantaisie.

Aucun texte ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc amplement le temps de faire le tout de tous les détails avant de choisir celui qui vous inspirera.

D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.

Le temps d’une carte postale, se retrouver à Porto, et plus précisément dans le centre historique de cette ville, inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco. Et se dire que les cartes postales, c’est une invention extraordinaire.

J’emprunterais volontiers ce chat pour l’après-midi. Une toile de l’artiste lituanienne Aurina Griciūtė-Paškevičienė.

Si je sortais aujourd’hui, ce que je ne ferai pas, je voudrais avoir un bonnet rouge semblable à celui que porte la fillette imaginée par l’artiste japonaise Chihiro Iwasaki. Vous aurez compris qu’on attend de la neige…