Paris is always a good idea
Yolanda, qui habite Barcelone et qui m’a envoyé cette carte postale, et moi sommes du même avis qu’Audrey Hepburn. Et vous?
Yolanda, qui habite Barcelone et qui m’a envoyé cette carte postale, et moi sommes du même avis qu’Audrey Hepburn. Et vous?
Le véritable écrivain, c’est l’ignorant de génie, qui ne sait rien, mais comprend tout. (Henry Miller)
*toile d’un artiste inconnu de l’école anglais, de la fin du 18e siècle (dont toute trace a disparu)
Les rafales défont les chaînes
ne brisant aucun corail
le feu replie ses flammes
nous balayons cendres et feuilles
tant de fois dans l’œuf
les mythes ont dédoublé le hasard
calmé nos attentes
délivré les serrures
la peau du désir
Lucie Chéné, Des écorces frappées de nuages
*choix de la lectrice de Lisa Bormann
En sortant de la bibliothèque, alors que je me dirigeais vers la rue Ontario, j’en ai profité pour aller voir de près la murale de la ruelle Savoie dédiée à la poésie de Joséphine Bacon, réalisée par Gene Pendon. Et, vous l’aurez compris, pour la prendre en photo afin de la partager avec vous.
Quand j’ai trouvé cette carte postale dans ma boîte à lettres, représentant une entrée typique des maisons des Pays-Bas, j’ai remonté le temps. Le temps de me souvenir de Maastricht en 1981 et de Haarlem en 1985.
Souvenirs indélébiles.
La destination de l’homme sur terre n’est pas le bonheur, mais le perfectionnement. (Germaine de Staël)
*toile d’Ambrosius Benson
La lumière bouscule nos silhouettes
dissimulant dans nos yeux des miroirs
provoquant la finesse des jongleries
repos du destin
Lucie Chéné, Des écorces frappées de nuages
*choix de la lectrice de Whichwaysup
La vie est brève, et les occasions perdues ne se retrouvent jamais. (Milan Kundera)
*illustration de Dan Andreasen
Dans le désordre de nos émotions
les heures confrontent chiffres et prières
jouant de son charme et de sa plainte
le chat a dormi entre les flots
nos secrets passent au naufrage
Lucie Chéné, Des écorces frappées de nuages
*choix de la lectrice de Rémi Blanchard