Les vers de Louise L. 9
là où il n’y a plus d’image
qu’un bleu débordé
qu’une lumière vive
rien de moins que le silence
les lignes effaçables d’un crayon de mine
j’aurais voulu n’avoir aucun souvenir
qu’un regard jeté au loin
Louise Larose, Mortelle et corps perdus
*choix de la lectrice de Sandra Byrshell (dont toute trace a disparu)