Les vers de Louise L. 8
au plus près l’odeur de ton corps
la saveur d’un fruit trouvé
dans la forêt sauvage
même longtemps après
je cherche ce parfum vivace à ton poignet
frémis à nouveau dans l’art de recevoir
des choses précieuses existent
quand on sait prononcer le mot splendeur
Louise Larose, Mortelle et corps perdus
*choix de la lectrice de Robert Andersen