Lali

15 septembre 2010

À l’heure du Portugal 81

hopkins-henry-leah.jpg

António Zambujo et Roberta Sá interprétant Eu Já Não Sei

*choix du lecteur de Leah Hopkins Henry

14 septembre 2010

Le carnet de Montréal 11

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

tuset-salvador-tuset-5.jpg

C’est sur le choix de la lectrice de Salvador Tusset que nous fermerons Le carnet de Montréal de Carl Norac. Puisque dès demain les lectrices du soir parcourront un autre recueil. Voici donc ce dernier extrait :

10 juin

J’ouvre ma nuit à celle qui la trouve en moi, puis j’avance ma langue. La vie est moins amère dans la bouche des femmes. L’évidence d’être aimé s’y passe de poème. Ce que leur salive nous donne, ce n’est pas seulement un sucre ou un miel, mais une issue hors du désir qui pend aux lèvres des perdants.

Balalaika, un conte joliment illustré

Filed under: À livres ouverts,Pour petites mains — Lali @ 19:27

balalaika.jpg

Un bel album que propose les éditions Auzou avec Balalaïka qui met en scène une histoire et des illustrations de Cathy Delanssay. Inspiré de faits réels, l’album raconte sous la forme d’un conte les terribles événements qui se sont produits en Russie au XVIIe siècle, à savoir ceux entourant l’interdiction pour toute personne de posséder un instrument de musique ou d’en jouer, au risque de les voir brûlés et que tout contrevenant soit persécuté.

C’est grâce à Ania, élue dès sa naissance, et à un nouvel instrument de musique, la balalaïka (qui vient du mot « balakat » signifiant de moquer, taquiner), que la musique vivra à nouveau en Russie. Une histoire toute simple, pleine de magie et joliment illustrée. Pour découvrir l’auteure et ses illustrations, n’hésitez pas à visiter son blog. Vous tomberez sous le charme!

Les vacances de Béatrix

Filed under: Vos traces — Lali @ 15:11

photo-409.jpg

photo-421.jpg

photo-422.jpg

Vous aussi vous vous demandiez où était passée Béatrix? Elle lisait. Quelque part au bord de la Méditerranée. Mais pas seule. En effet, voici quelques clichés pris sur le vif qu’elle a rapportés pour les lecteurs et lectrices du pays de Lali. Ça vous donne envie de partir?

La suggestion du 14 septembre 2010

Filed under: Couleurs et textures,La suggestion du jour — Lali @ 12:00

begas-carl.jpg

Il me plait d’imaginer que la lectrice du peintre Carl Joseph Begas aime tellement les livres qu’elle adorera cette photo que j’ai dénichée dans la toile d’Armando

Pour que nous ne l’oubliions pas…

Filed under: Signé Armando,Vos traces — Lali @ 10:24

800-img_0098.jpg

Tandis que notre ami Armando se promène sur les plages d’Algarve à la recherche de vagues ou de coquillages à examiner de plus près avec son appareil photo, une fleur bruxelloise qu’il a photographiée avant de partir s’est posée au pays de Lali afin que nous ne l’oubliions pas! Comme si c’était possible…

Ce que mots vous inspirent 231

Filed under: Ce que mots vous inspirent,Couleurs et textures — Lali @ 8:00

roos-johann-heinrich.jpg

Ne commence pas ta journée avec les blessures d’hier! (Phil Bosmans)

*toile de Johann Heinrich Roos

Une rose pour commencer la journée

Filed under: Mon Montréal,Signé Lali — Lali @ 6:12

photo-090_rose.jpg

photo-089_rose.jpg

photo-088_rose.jpg

Si inspirante qu’il a fallu que je la prenne plus d’une fois en photo!

À l’heure du Portugal 80

vasquez-eva-3.jpg

Deolinda interprétant Fado Toninho

*choix des lecteurs de l’illustratrice Eva Vasquez

13 septembre 2010

Le carnet de Montréal 10

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

hadziewicz-rafal.jpg

C’est la lectrice du peintre polonais Rafal Hadziewicz qui a ce soir fait connaissance avec la poésie en prose de Carl Norac. Et c’est sur ces mots du recueil Le carnet de Montréal qu’elle s’est longuement arrêtée :

3 juin

Je deviens familier d’une trouée de ciel. J’écoule un hasard, monnaie blanche. Derrière le ciel, peut-on toucher la peau de l’astre, ou caresser comme une femme ce pays sans air qui convient à la chute? Il me reste à trouver celle qui me suivra dans la trouée de ciel. Elle m’écrira demain, sans me connaître. Ses mots d’amour arriveront dans une enveloppe blanche, sans adresse, légèrement trouée.

« Page précédentePage suivante »