Un peu de romantisme 16
Souvent elle le priait de lui lire des vers; Léon les déclamait d’une voix traînante et qu’il faisait expirer soigneusement aux passages d’amour. (Gustave Flaubert, Madame Bovary)
*toile de Jerry Grandon
Souvent elle le priait de lui lire des vers; Léon les déclamait d’une voix traînante et qu’il faisait expirer soigneusement aux passages d’amour. (Gustave Flaubert, Madame Bovary)
*toile de Jerry Grandon
Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI
D | L | M | M | J | V | S |
---|---|---|---|---|---|---|
« Fév | ||||||
1 | ||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 |
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 |
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 |
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 |
30 | 31 |
Coquine, va… nous savons tous que le vers est dans la pomme et que la pomme est cachée dans les hibicus… ça devient un peu ólait, ó-lai ce blog… vous ne trouvez pas?…
Comment by Armando — 12 juillet 2009 @ 16:14
Disons, cher Armando, que certains blogeurs ou blageurs emploient dans ce pays un langage on ne peut plus « vernaculaire » que seuls les érudits peuvent comprendre…
Comment by Docteur Spot — 13 juillet 2009 @ 6:40
Vernaculaire… vernaculaire… vernaculaire… je crois que je ne suis pas ce que tu dis. Alors là pas de tout.
Comment by Zin Zin — 13 juillet 2009 @ 10:52