Lali

En ce dimanche de la fête des Mères, mères et filles, en commençant par celles peintes par Herminie Mutel, se sont réunies afin de partager avec vous quelques citations de Pearl S. Buck, récipiendaire du prix Nobel de littérature en 1938, dont les livres ont permis aux Occidentaux de connaître une Chine qui n’existe plus aujourd’hui.

Ma mère m’a offert Vent d’est, vent d’ouest, son premier roman, quand j’avais douze ans. Elle espérait que j’aimerais Pearl S. Buck comme elle l’avait aimé. Mission réussie. J’ai, depuis, lu presque tous ses livres. C’est un des plus beaux cadeaux que ma mère m’ait faits que ce roman qui m’a marquée.

De plus, Pearl S. Buck, qui a adopté plusieurs enfants afin qu’ils aient accès à l’éducation, a laissé derrière elle une œuvre qui n’est pas près de mourir, la Pearl S. Buck International, une autre raison — en plus du fait qu’elle fait partie de mon histoire mère-fille — de la mettre à l’honneur en ce jour de la fête des Mères.

Et se rappeler cette phrase : Toute chose est possible tant qu’elle ne s’est pas avérée impossible – et même en ce cas, elle ne l’est peut-être que pour l’instant.