Sans savoir
Le lecteur d’Anne Sacora est peut-être déjà dans son jardin. Sans savoir que je le croiserai tout à l’heure. Sans savoir que je m’arrêterai pour le regarder et sourire en silence. Sans savoir que son bonheur me fera plaisir. Et probablement n’a-t-il pas à le savoir.
Je viendrais aussi à pas feutrés, tout doucement, m’asseoir autour de la table et tout doucement, je prendrais quelques photos de ce beau jardin.
Amitiés
Denise
Comment by Denise Rossetti — 14 août 2007 @ 9:12