Porte dérobée 2
Heure après heure, je compte hallucinée les visages qui ne sont pas le tien.
Ne le seront jamais,
Comme si cela n’avait pas de fin : cette lumière qui fuit, s’éteint et prive l’amour de son chemin.
Louise Deschênes, Porte dérobée
*choix dela lectrice d’Oscar-Claude