Porte dérobée 1
Des mots qui plongent dans les remous, qui sont des remous.
Preuve tangible de ton obscur pouvoir. Si obscur qu’il était ignoré, même de moi.
Qui aime consent à la perte du temps. À la tyrannie des mots enroulés comme suaire.
Louise Deschênes, Porte dérobée
*choix de la lectrice de Bob O Cathail