Parfois, cette peur
Parfois, cette peur qu’on ne la touche plus. Qu’on ne caresse plus sa peau nue, qu’on ne s’attarde plus aux plis et aux courbes. Et que peu à peu son corps devienne muet. Elle qu’on aimait comme dans les livres. Elle qu’un seul regard faisait frémir.
Oui, parfois cette peur qui s’empare d’elle.
Et il ne reste à la lectrice de Pierrette Lilot que les livres et quelques lettres pour se rappeler qu’elle a existé.

Je ne sais quel est le plus beau : le texte ou la peinture ? Le texte me parle beaucoup… tout en délicatesse, en évocation discrète…
Commentaire by agnès — 19 juin 2008 @ 2:55
Oui mais il suffira d’un seul regard pour qu’elle se réveille à nouveau!
Commentaire by Cat — 19 juin 2008 @ 4:33
La lectrice posant ainsi avec son livre est merveilleuse !
Commentaire by Denise — 19 juin 2008 @ 7:45
Tiens, Denise est dans le coin… Comment fait-elle pour être partout? C’est la super Denise …
En guise de commentaire, Agnès a déjà dit ce que je voulais dire… Je ne penserai plus à haute voix. C’est tout.
Puis Cat a déjà pris ce que je voulais dire au cas où quelqu’un m’aurait pris de vitesse pour le premier commentaire.
Donc, je dis bonjour à Denise.
Avant de partir : la toile est bien. Le billet aussi.
Commentaire by Armando — 19 juin 2008 @ 14:36
Bonsoir Armando !!
Commentaire by Denise — 19 juin 2008 @ 15:24