Non, le bonheur ne se définit pas
Le bonheur se définit-il? Lui qui est tantôt un lever de soleil, lui qui est aussi nos orteils qui s’enfoncent dans le sable, lui qui est l’arôme du café, lui qui est un baiser, lui qui est une musique venue du temps des souvenirs, lui qui est une ville, lui qui est une lettre qu’on reçoit, lui qui est un repas partagé, lui qui est une pile de livres, à la manière de celle d’Ephraim Rubenstein, lui qui est souvent un regard, une voix ou les deux. Non, le bonheur ne se définit pas.

Assurément, en ce qui me concerne le bonheur ressemble beaucoup à cette pile, une belle promesse de conquête littéraire!
Commentaire by Cat — 3 juin 2008 @ 7:28
Le bonheur est partout, en nous, autour de nous.
Commentaire by Denise — 3 juin 2008 @ 8:58
Oh pour moi comme pour Cat, le bonheur, ça doit être à peu près ça…
Bonjour Lali.
Commentaire by Filleke — 3 juin 2008 @ 9:52
Je m’avance peut-être, mais le bonheur pour Ephraim Rubenstein est de risquer une belle pile de livres, de les faire tenir… et de les peindre. Il a dû passer un bon moment, un très bon moment, en durée… et en qualité !
Commentaire by Reine — 3 juin 2008 @ 13:28
Le bonheur..dans une pile de livres…mais oui! le lecteur y trouve tout..!la Vie…notre vie..tout simplement!
Commentaire by chantal — 4 juin 2008 @ 7:16
Le bonheur c’est un ange qui passe.
Commentaire by Armando — 4 juin 2008 @ 23:37
« Le bonheur c’est un ange qui passe. » et qui reste… tellement nous sommes accueillants !
Commentaire by Reine — 5 juin 2008 @ 13:04