N’en déplaise à Michel Drucker
Quand il y a près de huit ans j’ai mis fin à mon abonnement au câble, j’ai du coup cessé de regarder la télé et pour ce, de m’allonger sur mon sofa sur lequel je finissais par m’endormir télécommande en main. Rien ne réussissait à capter mon attention à la télévision depuis longtemps. Et même, me demandai-je alors, quelque émission culturelle, de variété ou autre avait-elle réussi un jour l’exploit de me fidéliser? Nenni. Il était donc plus que temps que je cesse ce gaspillage.
Je n’ai donc jamais vu Vivement dimanche! en entier. Les rares fois où j’ai pu voir des extraits de cette émission, c’était chez mes parents et chaque fois je me suis endormie, n’en déplaise à Michel Drucker et à ses invités. Et je n’ai jamais vu Philippe Geluck lire une de ses lettres en ondes bien que je connaisse le dessinateur du chat le plus célèbre de Belgique.
C’est donc avec une certaine curiosité que je me suis plongée dans Oh toi le Belge, ta gueule! qu’un ami bruxellois fou du chat de Geluck et grand admirateur des irrévérences du même Geluck, m’a offert. Un peu perplexe, parce que je ne connaissais pas le contexte de ces missives, pas plus que la plupart de ceux qui y sont mentionnés (membres de l’équipe Drucker et hommes politiques français notamment), j’ai donc fait appel à Google et à YouTube pour éclairer ma lecture.
Je me suis donc amusée par moments, mais sûrement pas autant que les fidèles de Drucker et de Geluck qui, grâce à ce livre, peuvent revivre des moments forts de l’émission et lire (à défaut de les entendre) des interventions de Geluck. Je ne peux donc pas conseiller ce recueil de lettres à qui n’a jamais eu connaissance de celles-ci, comme c’était mon cas, car trop d’éléments m’ont échappé pour que j’aie pu y prendre un véritable plaisir. N’en déplaise à Michel Drucker.
Lu dans le cadre du Challenge « Littérature belge ».


Moi je dois vous dire que je suis un inconditionnel de Gelluck (prononcez Guelluck svp) et je dois dire que des fois je ne le trouve pas très drôle et alors quand je trouve qu’il n’est pas drôle je ne rigole pas. Comme ça il sait que pour me faire rire il faut être drôle. Malheureusement quand j’achète ses bouquins je pense toujours que je vais m’amuser comme un fou puisque Gelluck (prononcez toujours Guelluck svp, j’ai horreur des gens qui prononcent son nom à la française) est souvent drôle. Mais des fois il ne l’est pas. Alors je ne rigole pas. C’est lui qui rigole puisqu’il a vendu un bouquin de plus. Malin ce Gelluck (hooo… hoooo… mais vous allez prononcer comme il faut, svp…)
Commentaire by Pépé au bord de mer — 28 mai 2011 @ 23:56