Les vers de Louise Labé 3
Quatre vers ont suffi à lectrice du peintre canadien Robert Harris pour qu’elle s’éprenne de la poésie de Louise Labé. Quatre vers seulement. Que voici :
Pour contenter celui qui me tourmente,
Chercher ne veux remède à mon tourment :
Car en mon mal voyant qu’il se contente,
Contente suis de son contentement.

Personne n’a mieux exprimé le tourment amoureux que Louise Labé. Son écriture est d’une brûlante intemporalité. A découvrir aussi, à la même époque tous les pétrarquistes, et les femmes moins connues…Pernette du Guillet par exemple. Amitiés.
Commentaire by K. — 16 avril 2010 @ 3:17
Dis Louise, Je n’ai rien compris à ton histoire et pourtant je ne suis pas blond. Et si on se faisait la bise et on oubliait tout ça?…
Commentaire by Fou à Lier — 16 avril 2010 @ 6:06
Quelle belle poésie, Lali ainsi que la toile…
Commentaire by Denise — 17 avril 2010 @ 15:51