Lali

24 juillet 2016

Les vers de Louise L. 6

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

FALAVANTOUR (Bernard) - 1

une forêt apparaît, disparaît
quelques pages perdurent
la terre porte ses déesses ignorées
le soir monte lent brasero
je pose ma plume un mot se perd
je respecte les nuits consolatrices
il n’y a pas tant de lieux possibles
où fermer les yeux

Louise Larose, Mortelle et corps perdus

*choix de la lectrice de Bernard Falavantour (dont toute trace a disparu)

Aucun commentaire »

No comments yet.

RSS feed for comments on this post. TrackBack URI

Leave a comment