Le dit d’Ernest 4
La chair en sa rosée
L’espace d’un conte à défaire la nuit noire
Nous jouons à l’extrême d’un monde inachevé
Et je revis en toi tout le temps dilaté
Au ciel qui renaît
Dans regard qui boit le silence d’aimer
Et ton sourire de jour du premier jour
Ernest Pépin, Dit de la roche gravée
*choix de la lectrice de Fedor Barahtyan