La gargouille
Mes parents ont eu un véritable coup de foudre pour Saint-Paul-de-Vence et ils parlent de cet endroit avec un tel enthousiasme qu’ils vous donnent l’envie de vous retrouver là-bas sur-le-champ.
Même si Montand n’y joue plus à la pétanque avec ses potes, comme ce jour de septembre où mes parents l’ont croisé pour une deuxième fois, près de quinze ans après la première, dans un hôtel de New York, en compagnie de Simone Signoret.
Mais la gargouille signée Joan Miró y est toujours. Et j’irais volontiers voir si elle est aussi belle en vrai que sur cette carte postale.