Équilibre précaire
Et un jour vient où dans cet équilibre précaire on trouve la force de vivre. Où les fesses à moitié assises et à moitié dans le vide, on trouve sa position, si bien qu’un jour on la fait sienne. Et là où d’autres auraient peur de tomber, auraient peur qu’on les pousse, auraient peur d’un simple coup de vent, la lectrice de Luise Kött-Gartner trouve sa force, son énergie, son espoir. Et jour après jour, assise là, elle regarde le ciel quand elle ne lit pas.


La lectrice sait très bien qu’elle peut tomber à tout bout de champ mais elle sait aussi qu’elle se relèvera, marchera et ira de l’avant. Toujours de l’avant ! Et le jour où elle aura oublié son équilibre précaire, la lectrice aura fait un très grand pas.
Commentaire by Denise — 25 juin 2008 @ 7:29
la lectrice eut des frissons…cette pierre était vraiment trop froide! Elle alla se réchauffer et puiser sur cet ancien tronc » d’arbre à palabres »…la force de vie!
«Si l’Arbre est notre reflet, c’est qu’il nous ressemble dans sa diversité la plus extrême. À cet égard, la façon dont nous entretenons les arbres et les forêts ne correspond-t-elle pas à l’image que nous avons de nous-mêmes?»
Pierre-Émile Rocray, ingénieur forestier et responsable
de la Maison de l’arbre du Jardin botanique de Montréal
Commentaire by chantal — 25 juin 2008 @ 17:37