Lali

29 mars 2015

En vos mots 416

Filed under: Couleurs et textures,En vos mots — Lali @ 8:00

BORTNYIK (Sandor)

Mais que peut bien chercher le lecteur peint par Sandor Bortnyik pour avoir sorti autant de livres? Ce n’est pas à moi de vous le révéler, mais à vous. Au moyen d’un poème ou d’une nouvelle. Peut-être même d’une seule phrase. Car tel est le but d’En vos mots, cette catégorie qui n’appartient qu’à vous et que vous animez depuis bientôt huit ans.

Aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain, ce qui vous donne plus que le temps de nous raconter ce que vous suggère – ou vous rappelle – cette scène.

D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous!

2 commentaires »

  1. Mais Oui! C’est ça! Il cherche un sujet pour apporter sa petite touche personnelle à la rubrique dominicale d’ « En vos mots ».

    Ça pourrait être: les miracles du chocolat pour Pâques.
    Ou: les bienfaits du thé pour les conversations amicales.
    Ou bien: mes balades en deudeuche sur la route côtière.
    Ou encore: la couleur rouge au cœur d’émotions contradictoires.
    Ou pourquoi pas: la symbolique de la tulipe dans le langage des fleurs.
    Autant de thèmes qui combleraient sa muse Lali.

    Il déplaça des dizaines de livres; feuilleta des centaines de pages; apposa moult onglets.
    Il décida finalement de délivrer un banal message, urbi et orbi, où il exprimerait sa joie de ne pas travailler le lendemain…

    Comment by Barbara — 3 avril 2015 @ 12:35

  2. L’horloge avait reculé d’une heure
    La terre poursuivait sa course
    Le temps qui passe est un leurre
    Personne ne connaît sa source

    Je m’attardais le cœur heureux
    Dans ces lignes écrites en silence
    Je n’avais pas envie de dire adieu
    À tous ces mots remplis de sens
    Tous les poètes ont dans leur âme
    Un jardin aux couleurs des saisons
    Leur solitude est une femme
    Dont ils taisent le prénom
    Et souvent je me laisse emporter
    Dans ces rêveries bibliothécaires
    Mais parfois il me semble écouter
    Comme une voix pleine de mystère

    Oublie les paradis artificiels
    Ne t’attache pas à Baudelaire
    Le printemps déploie ses ailes
    Mon amour viens changer d’air

    Comment by Armando — 5 avril 2015 @ 4:57

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