Lali

11 mai 2014

En vos mots 370

Filed under: Couleurs et textures,En vos mots — Lali @ 8:00

HARDING (Sasha) - 1

Est-ce une lettre? Une carte postale? À qui est-elle destinée? Va-t-elle traverser l’océan? Voici quelques pistes pour ceux qui voudraient participer à En vos mots pour la première fois, mais ne savent pas trop comment aborder la toile proposée. La scène imaginée par Sasha Harding se prête à tellement d’interprétations!

Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera affiché avant dimanche prochain, alors qu’une nouvelle scène livresque sera proposée à vos mots. Profitez-en pour lire les textes que je viens tout juste de valider. Des surprises vous attendent!

2 commentaires »

  1. Comme une lettre à la poste il lui avait fait avaler la raison pour laquelle…

    Ce n’était pas la vraie raison bien sûr mais…

    Comment aurait-elle pris la pure vérité…

    Et puis un petit mensonge pour éviter de…

    Elle croyait d’ailleurs tout ce qu’il lui disait ou presque…

    Ç’aurait été trop difficile de lui avouer que…

    D’ailleurs pourquoi lui faire de la peine…

    Non, il fallait être plus diplomate…

    Ne pas lui annoncer tout de go que…

    Elle verrait bien qu’il n’est plus là…

    Elle aurait beau l’appeler…

    Seule une tache de sang dans l’entrée du garage dévoilerait la triste…

    Comment lui apprendre que…

    son chien est mort.

    Comment by Puff — 15 mai 2014 @ 6:27

  2. Quelques mots à l’encre des jours passés
    Lisbonne a des allures de princesse oubliée
    Le poète écrit toujours l’âme lusitaine
    Le fado chante sa nostalgie bohémienne

    Le Tage s’habille toujours d’or chaque matin
    Des amoureux entre baisers et câlins
    Silhouettes dessinées en contre-jour
    Désirs de l’aube promesses d’amour
    Les pêcheurs leurs destin à la dérive
    Regard perdu et rêveur sur l’autre rive
    Attendent que le poisson se décide
    Et les jours passent, nonchalance fluide
    Qu’il fait doux vivre au pays des œillets
    Où il plane encore un goût du passé
    Le jour qui passe ressemble à la veille
    Et pourtant plus rien n’est pareil.

    Et moi qui ai presque tout oublié
    Jusqu’au goût de miel de nos baisers
    Je t’écris juste pour te dire encore
    Que mon corps a le parfum de ton corps

    Comment by Armando — 18 mai 2014 @ 4:16

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