Emprunt
Je me glisserais dans sa peau, lui emprunterais sa robe légère et ses cheveux au vent.
Au loin, des goélands tacheraient le ciel d’un bleu à couper le souffle.
Et je lirais les vers d’un poète méconnu tandis que les vagues viendraient mourir à mes pieds.
*sur un dessin de Mary Ostertag
Chaque jour on s’en rapproche un petit peu,la belle saison va bien finir par arriver !
Bisous et bon dimanche.
Comment by Lilas — 2 mai 2015 @ 12:37