Elle s’appelait Miep Gies
Et sans elle, le journal d’une adolescente juive à Amsterdam aurait peut-être disparu au milieu d’autres papiers laissés derrière au moment d’une rafle qui allait mener dans des camps ceux et celles qu’elle avait cachés avec la complicité de Victor Kugler (qui s’est par la suite établi au Canada) et Johannes Kleimann.
Elle s’appelait Miep Gies, celle qui vient de mourir à 100 ans et qui raconte dans Elle s’appelait Anne Frank « son » Anne. Un livre émouvant que j’avais lu au moment de sa publication en 1987 et que je vous invite à lire si vous ne le connaissez pas. Un livre dont la préface de l’auteure se termine par ces mots :
« Mon histoire est celle de gens ordinaires en des temps qui furent extraordinairement durs. Des temps qui, je l’espère du fond de mon cœur, ne reviendront jamais plus. C’est à nous tous, gens ordinaires de par le monde entier, d’y veiller. »
Anne Frank! … un de mes livres préférés avec celui du « Petit Prince » de Saint-Exupéry! Alors je prends comme un cadeau Lali, ce livre que tu nous proposes! Sans tarder, encore un livre que je vais dévorer, sans aucun doute! merci.
Comment by Chantal — 16 janvier 2010 @ 16:36
Je me souviens j’avais 16 ans la première fois que j’ai visité cette maison d’Anne Franck, le choc ressenti en voyant la taille des lieux et la lumière blafarde qui pénétrait à travers les fenêtres obstruées, un destin terrible , le livre de Miep Gies ajoute encore de l’émotion
C’est un livre qui est rangé juste à côté du journal dans ma bibliothèque
Comment by Dominique — 17 janvier 2010 @ 4:06