Ce que mots vous inspirent 3117

Les pensées s’élèvent et s’apaisent toujours comme des ondulations à la surface de l’eau. Vous devez regarder la masse d’eau, et pas seulement les ondulations. (Sathya Sai Baba)
*illustration de Chia-Chi Yu

Les pensées s’élèvent et s’apaisent toujours comme des ondulations à la surface de l’eau. Vous devez regarder la masse d’eau, et pas seulement les ondulations. (Sathya Sai Baba)
*illustration de Chia-Chi Yu

Quand on n’a pas souffert, on ne sait rien encore. (Marceline Desbordes-Valmore)
*toile de Robert Hope

Il n’y a pas de bonne destination, que des raisons nécessaires de fuir. (Gavin’s Clemente-Ruiz)
*illustration de Marcela Calderon

Le bonheur demeure un concept relativement abstrait tandis que la souffrance nous paraît plus concrète. C’est tout à fait naturel. C’est à travers la souffrance que l’être humain éprouve le plus souvent sa propre existence. (Joungha Joo)
*toile d’Afifa Aleiby

Les choses paraissent toujours plus grandes la première fois qu’on les voit, même si on ne les voit pas en entier. (Isabelle Sorente)
*illustration de Tom Haugomat

Difficile de quitter un terrain de souffrance pour « passer à autre chose » si cette souffrance n’est pas reconnue ni décrite. (Toni Morrison)
*toile de Marcus Stone


Les mots ont d’abord une énergie qu’ils perdent ensuite : ils se sclérosent. Changer les mots vous permet de retrouver la vie. (Georges Banu)
*illustration d’Anna Forlati

L’homme aime qu’on le berce, même si c’est d’illusions. L’homme aime s’endormir paisiblement et faire de beaux rêves, même s’il risque de ne plus se réveiller. (Marcus Malte)
*illustration de Victoria Fomina

L’existence de la bonne mauvaise littérature — le fait que l’on puisse être amusé, captivé ou même ému par un livre que l’intellect refuse de prendre au sérieux — nous rappelle que l’art et la pensée sont deux choses distinctes. (George Orwell)
*illustration de Lucija Mrzjiak

Si toute vie va inévitablement vers sa fin, nous devons durant la nôtre la colorier avec nos couleurs d’amour et d’espoir. (Marc Chagall)
*illustration de Maria Mola