Ce que mots vous inspirent 3186

Le livre est un morceau de silence dans les mains du lecteur. Celui qui écrit se tait. Celui qui lit ne rompt pas le silence. (Pascal Quignard)
*toile d’Agnieszka Banasiak

Le livre est un morceau de silence dans les mains du lecteur. Celui qui écrit se tait. Celui qui lit ne rompt pas le silence. (Pascal Quignard)
*toile d’Agnieszka Banasiak

Je me rends compte qu’on peut écrire infiniment, qu’on écrira infiniment, qu’aucun livre n’aura le pouvoir de flétrir la littérature. (Marin Malaicu-Hondrari)
*illustration d’Emily Arnold McCully

Généraliser, n’est-ce pas nier à chaque individu le droit d’être autrement, différent? (Allain Glykos)
*illustration de Roser Calafell

L’heure est le meilleur stratagème qu’on ait inventé pour défier l’absence de fin. Invention humaine pour découper le temps et lui donner le sens que sans doute il n’a pas. (Lidia Jorge)
*toile d’Esao Andrews

On ne meurt vraiment que lorsque plus personne ne prononce votre nom. (Yan Lespoux)
*toile de Ta Byrne

Quand on aime quelqu’un, on nourrit pour lui des craintes et des rêves. Il cristallise nos peurs et nos espoirs. Nos plus beaux élans naissent de cela. Ce lien nous anime, nous motive, nous porte, nous construit. La seule chose qui compte, c’est d’avoir quelqu’un pour qui espérer mieux. L’essentiel, c’est d’avoir quelqu’un pour qui trembler. (Gilles Legardinier)
*toile de Fernando Botero

Le temps a bien des visages, la pendule mesure rarement celui qui passe en notre for intérieur et qui constitue la véritable durée de la vie, d’ailleurs, une foule de jours pourrait tenir en quelques heures et inversement, le nombre des années est une échelle peu fiable pour mesurer la durée de la vie d’un homme, celui qui meurt à quarante ans a peut-être vécu bien plus qu’un autre qui part à quatre-vingt-dix. (Jón Kalman StefánJón Kalman Stefánsson)

*illustrations de Marine Loup

Seuls les vrais solitaires, quand ils se rencontrent, peuvent s’aimer sans s’abîmer parce qu’ils n’ont pas besoin de se fuir, d’exercer un pouvoir sur l’autre ou de considérer la durée comme une fin en soi. (Didier Van Cauwelaert)
*toile de Paul Fischer

Il y a la vie, ses coups du sort, ses joies, sa brutalité, son absurdité et son sens, son injustice et sa beauté, ses délices, ses mystères, ses récompenses, il y a la vie et ce que nous en faisons. (Charlotte Valandrey)
*toile de Patrick Marie

On essaie toujours de comprendre pourquoi les choses basculent, mais quand on le découvre, on est déjà de l’autre côté. (Grégoire Delacourt)
*toile de Thanh Nhan