Ce que mots vous inspirent 3235

Il doit bien exister au monde quelque chose, un lieu qui ne soit pas un rapport de force avec autrui ou soi-même. La tendresse, peut-être. (Gérard Philipe)
*toile de Juliana Oakley

Il doit bien exister au monde quelque chose, un lieu qui ne soit pas un rapport de force avec autrui ou soi-même. La tendresse, peut-être. (Gérard Philipe)
*toile de Juliana Oakley

Si seulement nos yeux voyaient des âmes au lieu des corps, combien notre idée de la beauté serait différente. (Frida Khalo)
*toile de Pierre-Albert Marquet

personne n'a besoin de savoir
personne d'autre que toi
nos bouches et les sentioers
le sable entre les pages des livres
les levers de soleil
dans le rétroviseur
Olivier Adam, Personne n'a besoin de savoir
*choix de la lectrice d'Elaine Silverman Sturm

Jouir du moment, ce n’est pas s’y abandonner sans arrière-pensée, mais au contraire savoir intensément qu’on le vit. L’aimer pour lui-même, comme on aime tout ce qui va déjà mourir. ( Jean-René Huguenin)
*toile d’Aldo Balding

Il faut enseigner aux enfants à penser, pas à quoi penser. (Margaret Mead)
*illustration d’Alessandra Vitelli

Les livres sont faits pour unir les hommes par-delà la mort, et nous défendre contre l’ennemi le plus implacable de toute vie : la fugacité et l’oubli… (Stefan Zweig)
*toile de Linda Valere

Lire ressemble à regarder l’horizon. D’abord on ne voit qu’une ligne noire. Puis on imagine des mondes. (Erik Orsenna)
*toile de Thierry Duval

Rompre, c’est faire d’un personnage principal de votre vie un personnage secondaire. (Sophie Divry)
*toile d’Albert André

Tout ce qui nous arrive, les choses qui nous arrivent, entraine des petits cataclysmes, même les choses minuscules on ne s’en méfie pas. Elles nous blessent, elles nous blessent, continuent de nous blesser, et sont aussi cruelles qu’elles étaient ordinaires au moment d’arriver ; ainsi sommes-nous la proie de tristesses dérisoires… (Christina Mirjol)
*toile de Frédéric Haman