Les mots conjoints 4

Choisir d’écrire suppose qu’on n’y a pas vraiment pensé. (Bruno Roy, Les mots conjoints)
*toile de John Storrs

Choisir d’écrire suppose qu’on n’y a pas vraiment pensé. (Bruno Roy, Les mots conjoints)
*toile de John Storrs

L’inconscience est une protection contre l’ironie. (Bruno Roy, Les mots conjoints)
*toile de Nicole White Kennedy

Qui craint l’erreur ne comprend rien à l’apprentissage. (Bruno Roy, Les mots conjoints)
*toile de Lin Fischer

Cela fera dix ans demain que mon ami l’écrivain Bruno Roy est décédé. Dix ans qu’il nous manque, que sa voix et ses poèmes nous manquent. Mais au pays de Lali, il n’a cessé d’être présent. Vous pourrez le constater en écrivant son nom dans la case Recherche s’il vous tente de lire certains de ses textes.
Et pour souligner cet anniversaire, j’ai ouvert Les mots conjoints, un recueil d’aphorismes publié il y a un peu plus de 20 ans pour les plaisir d’en partager avec vous et avec une dizaine de lectrices dans lesquelles je me reconnais un peu, en commençant par celle peinte par Igor Koutsenko et cet extrait : Le destin est une décision qui oriente le hasard.

Me voici donc seul sur la terre, n’ayant plus de frère, de prochain, d’ami, de société que moi-même.
Quel livre commence par cette phrase?
*toile de Magda Carella

Il entra dans ma vie en février 1932 pour n’en jamais sortir.
Quel roman commence par cette phrase?
*illustration de Pierre Mornet

Je suis toujours ramené vers les lieux où j’ai vécu; les maisons et leur voisinage.
Quel roman commence par cette phrase?
*toile de Frans Smeers

Ma bonne, ma bonne, dit un jour Sophie en accourant dans sa chambre, venez vite ouvrir une caisse que papa m’a envoyée de Paris; je crois que c’est une poupée de cire, car il m’en a promis une.
Quel roman commence par cette phrase?
*toile de Barry Ross Smith

J’ai un livre sur ma table de nuit, un vieux roman d’amour, dépenaillé aux pages tout écornées.
Quel roman commence par cette phrase?
*toile de Tony Gram