Basse-ville 6
l’heure serait-elle déjà venue
de l’immobilité vaste et ronde
la nuit
la nuit traîne mollement
comme la pelure d’une parole
une ligne
qui tout à coup se briserait
Michel Pleau, Le ciel de la basse-ville
*choix de la lectrice de Frederick Carl Frieseke
J’aimerai bien avoir la même robe. Comme d’habitude, Lou ne respecte ni la poésie ni l’art…
Mais non, ne croyez surtout pas cela; son coeur s’est brisé plus d’une fois. Quant à l’immobilité, connue également, mais maintenant, elle ne cesse de bouger, jusqu’à la prochaine « galère ».
La poésie ? Toujours un aliment capital de l’esprit et du sentiment.
Comment by LOU — 20 juillet 2015 @ 14:21