Lali

19 juillet 2015

Basse-ville 6

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

FRIESEKE (Frederick Carl) - 2

l’heure serait-elle déjà venue
de l’immobilité vaste et ronde

la nuit
la nuit traîne mollement
comme la pelure d’une parole
une ligne
qui tout à coup se briserait

Michel Pleau, Le ciel de la basse-ville

*choix de la lectrice de Frederick Carl Frieseke

Un commentaire »

  1. J’aimerai bien avoir la même robe. Comme d’habitude, Lou ne respecte ni la poésie ni l’art…
    Mais non, ne croyez surtout pas cela; son coeur s’est brisé plus d’une fois. Quant à l’immobilité, connue également, mais maintenant, elle ne cesse de bouger, jusqu’à la prochaine « galère ».
    La poésie ? Toujours un aliment capital de l’esprit et du sentiment.

    Comment by LOU — 20 juillet 2015 @ 14:21

Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI

Laisser un commentaire