Anecdotes de réviseure 26
Où que j’aille, les fautes d’orthographe me poursuivent. Mais comment corriger celle-ci quand on n’a ni pinceau ni peinture?
10 juillet 2013
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Où que j’aille, les fautes d’orthographe me poursuivent. Mais comment corriger celle-ci quand on n’a ni pinceau ni peinture?
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En le prononçant à l’espagnol : ça peut le faire… 😉 merci pour le rire ! même en soirée, cela décontracte le visage…
Commentaire by LOU — 10 juillet 2013 @ 17:04
C’est ma très grande faute d’orthographe, voilà comment j’écris giraffe…(Jacques Prévert)
Commentaire by haÏku — 11 juillet 2013 @ 5:47
Moi je ne sais jamais si ailles prend bien deux elles et quand c’est Colomb et pas Colombe.
Commentaire by Pépé de Séville — 12 juillet 2013 @ 6:51
Pas grave Pépé moi j’ai eu un amant qui me demandait toujours si je connaissais Qu’a fait Cas. Un jour, par le plus grand des hasards, j’ai découvert qu’il voulait me demander si je connaissais Kafka. Le crétin. Comme si je pouvais connaitre tout le monde.
Commentaire by Mémé — 12 juillet 2013 @ 6:54
Moi j’ai connu un gars qui connaissait son orthographe comme il respirait. Et j’vous jure que côté respiration c’était très inquiétant.
Commentaire by Armando — 12 juillet 2013 @ 6:56