Les vers de Paule 3
La vie s’agite tout près
confusion d’objets et de sons
dans le chaos des heures et des marées
où mon esprit se perd
des oiseaux noirs taquinent ses vagues
meublent le ciel de leur liberté
les herbes se rassemblent sur ses dunes
j’y cueille des mots
d’écume et de sel
Paule Doyon, Près de la fenêtre, je l’aperçois, elle attend…
*choix de la lectrice de Pieter Jacobus van Boxel

Moi j’avais aussi des vers. Puis j’ai mangé une soupe à base de poisson et je crois qu’il devait y en avoir des vivants puisque les vers, je n’en ai plus entendu parler. Enfin c’est que j’en déduis… à défaut d’une meilleure explication. Mon médecin dit que je suis fou. Mais ça n’a rien à voir avec ma soupe aux poissions. Qu’il est con celui-là…
Commentaire by Pépé de Seville — 12 février 2013 @ 6:38