Un roman qui ne va nulle part
Grande a été l’impression d’avoir été flouée quand je suis arrivée aux dernières lignes du roman d’Anne-Michèle Hamesse intitulé Bella disparue. Comme si on m’avait menée en bateau pour rien. Pour quelques images fugaces. Pour des personnages qui se rencontrent le temps d’une journée et parlent pour passer le temps, l’un de Bella qui s’est volatilisée alors qu’il l’attend, l’autre d’Hortense, sa sœur qui vient de mourir et qu’elle détestait.
Or, tout cela ne mène nulle part, ne va pas plus loin que ce thé trop sucré qu’ils boivent chapitre après chapitre.
Lu dans le cadre du Challenge « Littérature belge ».
Le genre de roman qui donne de l’urticaire!!! Je passe mon tour…
Commentaire by Jules — 7 février 2011 @ 20:32
Ce matin en achetant ma baguette aux raisins j’ai entendu parler d’une Jules qui avait de l’urticaire. Le monde est petit tout de même…
Commentaire by Pépé — 7 février 2011 @ 23:11
Entre Armando et toi je notte que la littérature ne vous porte pas chance ces temps ci
Heureusement que ce n’est qu’un mauvais passage 🙂
Commentaire by Dominique — 8 février 2011 @ 5:55
Le titre était pourtant prometteur! En attendant, heureusement que d’autres livres attendent sur l’étagère.. Sourire.
Bonne journée, ,Lali
Commentaire by Chantal — 8 février 2011 @ 8:04