Quand auteurs et éditeurs se croisent le temps d’un roman
Et si les grands écrivains du XIXe siècle devaient affronter les normes et les critères des éditeurs du XIXe siècle, que se passerait-il? Tel est l’objet de ce court et savoureux roman mis en scène par Mary Dollinger, « cette Anglaise qui s’obstine à écrire en français » dont j’avais tant aimé Au secours Mrs Dolloway, mais dont les livres sont introuvables au Québec parce que son éditeur n’est pas distribué chez nous.
Journal désespéré d’un écrivain raté a donc traversé l’océan grâce aux bons soins de Chantal et c’est en souriant que j’ai dévoré les péripéties de la narratrice comme celles de Victor Hugo, Gustave Flaubert et autres grands de la littérature qui, aujourd’hui, devraient appliquer à la lettre ce que Boileau a écrit : « Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage ».
Un livre délicieux, vous dis-je.

je cours je cours pour rattraper mon retard de lecture de blogs et toc je m’arrête ici rien que pour le titre et à la lecture du billet je sais que c’est pour moi
Commentaire by Dominique — 18 septembre 2010 @ 4:31
Tiens ce titre m’interpelle bien… Bizarre !
Commentaire by madame zaza — 18 septembre 2010 @ 5:08
Hier à la plage je ne suis pas arrivé à lire un boukin à cause d’un boukan…
… oui je sais ce n’est pas drôle.
Commentaire by Pépé de l'Algarve — 18 septembre 2010 @ 21:55