Sans me lasser
Je peux passer des heures à fureter sur la toile. Tellement d’heures que j’oublie les aiguilles des horloges, parce que je m’attarde ici et là, parce que je vais de lien en lien à la recherche de textes qui me parleront, à la chasse de toiles ou de sculptures qui se raconteront ou à partir desquelles je prendrai des chemins insoupçonnés question de les faire vivre. Oui, je puis, telle la lectrice de Frank Woodberry Applebee, aller de site en site, comme elle va de page en page. Sans se – me – lasser.