Les poésies de Georges 3
J’aimais bien ces dimanches
silencieux pudiques
où toi tu travaillais
Et moi dans l’autre chambre
lentement j’écrivais.
J’aimais bien ces silences
J’aimais bien ne rien dire
Être là simplement
Laisser le temps mûrir
Et l’esprit nous unir
Georges Haldas, Poésies complètes
*choix de la lectrice de Gilles Rousset