Ce que mots vous inspirent 58
La richesse de l’homme est dans son cœur. (Jean Giono)
Le personnage peint par François-Richard Fleury serait-il en train de copier la citation de Giono avec des lettres d’une taille telle qu’il pourra en faire une pancarte et se promener en la brandissant afin qu’un maximum de gens puissent la commenter?
Ce que mots vous inspirent regroupe des citations dont vous pouvez faire tout ce dont vous aurez envie sans connaître les réactions des autres. Sera-ce une réflexion? Un poème? Autre chose? C’est ce que nous saurons mercredi prochain alors que je validerai les commentaires. Et pas avant.
Bon mercredi et à la semaine prochaine!

Avant de partir en mission, Arnold pris le temps d’écrire à son amour tout ce qu’il ne lui avait pas dit. Afin que Fleurine voit le message, dès son réveil, il prit une grande feuille et à l’aide de son épée lui écrivit ceci :
Pendant longtemps, j’ai bourlingué de par le monde
J’allais chantant tantôt les brunes tantôt les blondes
Pour chaque fille, à tout moment, je le déclare,
J’avais toujours des chansons dans ma guitare
Pour moi, c’étaient des amourettes sans importance
Je butinais de cœur en cœur, plein d’insouciance
Et puis un jour tout a changé, plus de guitare
C’était l’amour qui arrivait sans crier gare
Si le ciel me paraît moins bleu
Moins bleu que tes yeux
C’est tellement je t’aime,
Si j’oublie mes petits ennuis
Et tous mes soucis
C’est tellement je t’aime,
Si parfois je joue au poète
Si je perds la tête
C’est tellement je t’aime,
Si j’ai de l’amour plein le cœur
Si je crois au bonheur
C’est tellement je t’aime
Je me moquais de mes amis trop romantiques
Être amoureux, je trouvais ça vraiment comique
L’amour, pour moi, ça n’existait que dans les livres
Sans ce bla-bla, je connaissais la joie de vivre
Mais tout ceci, ce sont des mots, faut bien le dire
Car il suffit d’un seul regard ou d’un sourire
Pour tout changer, pour transformer toute une vie
Et pour aimer, aimer aussi à la folie
Robert Cogoi
Ne t’inquète pas chérie, ma mission sera de courte durée et je serai vite de retour. Je ne peux vraiment pas faire autrement. Le roi me jetterais dehors et je ne pourrais plus jamais te voir et cela est impensable. Je tiens trop à toi. Depuis que nous nous connaissons, tu m’as tant apporté. Avant, j’étais égoïste, prétentieux, orgueilleux mais toi Fleurine, tu m’as fait découvrir un autre monde. Un monde de joie et de bonheur. Un monde où l’on partage.
Avec toi, j’ai appris à laisser parler mon coeur !
Commentaire by Denise — 8 décembre 2008 @ 15:22
Et gare aux avares !! Ils meurent très vite d’une crise cardiaque !
Commentaire by Reine — 9 décembre 2008 @ 13:09