Porte dérobée 4
N’avoir plus le droit à l’émoi. Le craindre, l’appeler sans voix, l’inventer timidement.
Le pleurer sans relâche. Puisqu’il n’éclaire que lui-même.
Entrer dans le souvenir par la porte dérobée.
La voix viendra-t-elle désenfiler la peur de perdre?
Louise Deschênes, Porte dérobée
*choix de la lectrice de Daria Palotti