Six poèmes d’amour 2

Carte postale émise à l’occasion du 9e Printemps des Poètes, en 2007

Carte postale émise à l’occasion du 9e Printemps des Poètes, en 2007

C’est aujourd’hui la Saint-Valentin. Soit l’occasion parfaite de partager avec vous six cartes postales émises en 2007 à l’occasion du 9e Printemps des Poètes, lequel avait pour thème le poème d’amour. Cartes que j’ai retrouvées en faisant un peu de rangement, car il y a des cartes dans toute la maison!
Pour commencer, un poème signé André Chedid.

Je suis fan des figurines créées à partir des tableaux de Sœur Maria Innocentia Hummel. Je ne pouvais donc que beaucoup aimer cette carte envoyée de Suisse par Annina.

Certaines photos vous procurent immédiatement un sourire grand comme ça. C’est le cas de celle-ci, prise à Tanger par Mikhail Rappoport, qui est devenue une fort jolie carte postale.

Une photo de Raphaëlle Espagne pour les biscuits LU, devenue une carte postale, et l’on prendrait bien la place de cet enfant…

Encore une chose que j’ai apprise grâce à une carte postale! La Grossglockner Hochalpenstrasse est la route avec le plus haut col routier des Alpes autrichiennes. J’avoue que je suis davantage impressionnée par les virages en épingle que par la hauteur. Et vous?

Ce n’est pas la force, mais la persévérance, qui fait les grandes œuvres. (Samuel Johnson)
*toile de Thomas Hovenden

Sur l’une des îles des Glénans vivait, dans un palais de cristal, une fée magicienne dont les richesses fabuleuses provenaient du naufrage des navires. Elle ensorcelait les jeunes gens venus aux Glénans en quête d’aventures et les métamorphosait en poissons. La fiancée de l’un d’entre eux se rendit à son tour aux Glénans. En prenant l’apparence d’un beau jeune homme, elle s’approcha de la magicienne et l’emprisonna dans un filet magique. Aussitôt, il ne resta de la fée malfaisante qu’une vulgaire étoile de mer. Tandis que la jeune fille faisant reprendre aux poissons leur forme humaine, retrouvait son amant libéré du sortilège.
Telle est l’histoire qui se trouve au verso de cette carte postale envoyée de Fouesnant en 1968. Ici se trouve une version plus longue et quelque peu différente de cette légende.