Il était une fois une auteure jeunesse et illustratrice du nom de Beatrix Potter, à qui l’ont doit de bien jolis contes et des images pleines de douceur, comme celles-ci. En 2016, elles se retrouvèrent sur des timbres , puis des cartes postales. Un bel envoi de mon amie Jette, que j’ai eu envie de partager avec vous.
Le philosophe n’est donc ni un intellectuel, ni un professeur, ni un spécialiste, mais un aventurier de l’esprit qui cherche à mener une vie bonne et heureuse avec lucidité. (Frédéric Lenoir)
Il y a toujours eu des livres partout chez moi. Dans toutes les pièces. Maintenant, il y a des livres en cours en lecture partout. Un sur le sofa. Un dans mon bureau. Un autre sur ma nouvelle table de travail. Deux dans mon lit.
À la moindre pause, j’ouvre l’un d’eux. Et je voyage d’un pays à l’autre, d’un autre siècle aux années 1980. Et j’oublie le confinement.
Un jour, les librairies ouvriront à nouveau. Un jour, la vie redeviendra un peu ce qu’elle était avant. Ou elle sera autre. Nul ne peut nous dire avec certitude ce qui nous attend.
Pour l’heure, rêvez et imaginez, à partir de cette aquarelle de Katerina Konyukhova, le bonheur que ce sera de retrouver ces lieux que nous chérissons tant. Racontez-le en vos mots, comme vous le faites semaine après semaine, et n’oubliez pas de lire les textes déposés sur l’illustration de dimanche dernier, que je viens tout juste de valider.
C’est avec plaisir que nous vous lirons dans une semaine, et pas avant.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous. Que celle-ci vous soit douce malgré ce que nous vivons d’incertitude.