Lali

C’est au Science Museum, à Londres, que se trouve ce laboratoire de chimie des années 1890. Encore un musée que je découvre grâce aux cartes postales!

Les années filent à une vitesse folle… J’avais 17 ans quand j’ai vu San Diego. La ville s’est tellement développée depuis que j’ai peine à la reconnaître sur ces cartes postales récentes!

Songe à ce qui est et ne te laisse pas distraire par ce qui aurait pu être. (Robin Hobb)

*toile d’Irit Bourla

C’est à La Haye qu’on retrouve le café-librairie Bookstor et son joli décor. Un décor qui ressemble au mien, avouons-le.

Seul le roman a le pouvoir de modifier ce qui a existé. (Régis Jauffret)

*toile de Belinda Del Pesco

On trouve de moins en moins de ponts couverts au Québec. Les moins solides finissent par s’effondrer et ne sont pas remplacés. Au sud de la frontière, dans l’État du Vermont, ils sont aussi peu nombreux à tenir le coup en raison de nos hivers rigoureux. Mais ceux qui ont résisté ont un charme bien spécial. Vous ne trouvez pas?

Je trouve très bien que nombre de gens se posent des questions sur notre avenir. Mais un homme seul ne peut apporter le bonheur à l’humanité toute entière, même avec la meilleure des volontés. Commencer par le bonheur de sa famille, de ceux qui sont proches physiquement, est déjà bien suffisant. Je pense que notre salut n’est pas dans les grands plans, mais dans la générosité du cœur de chacun. (Hitoshi Iwaaki)

*toile d’Elsa Backlund-Celsing

Lorsque mes parents se sont arrêtés à Saint-Paul de Vence il y a bien longtemps de cela, Yves Montand y jouait à la pétanque. Ce n’était pas le cas il y a deux ans quand ma sœur y était, mais elle est – bien sûr – tombée sous le charme de cet endroit duquel elle m’a rapporté cette série de cartes postales qu’il me fait plaisir de vous montrer. Pour le simple bonheur du partage.

Faut-il peindre ce qu’il y a sur un visage, ce qu’il y a dans un visage, ou ce qui se cache derrière un visage? (Pablo Picasso)

*toile de Jean-Étienne Liotard

Certains des livres écrits et illustrés par Akiko Hayashi, publiés à l’école des loisirs, ont dû me passer entre les mains du temps de ma vie de libraire. Du moins, il me semble. Bonheur que de trouver cette petite merveille dans ma boîte aux lettres. Il y a tant de douceur dans cette image.