Un dimanche à la Fondation Maeght 2

Signal éolien, sculpture de Takis – Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence

Signal éolien, sculpture de Takis – Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence

Ma sœur ayant eu l’occasion de passer une journée à Saint-Paul-de-Vence il y a quelques mois, elle en a profité pour passer quelques heures à la Fondation Maeght et visiter, entre autres, ses jardins.
Elle est bien sûr passée par la boutique où elle a choisi une dizaine de cartes à mon intention. C’est donc avec plaisir que je vous les offre aujourd’hui, en commençant par celle-ci, mettant en vedette la cour Giacometti, où se côtoient la Grande Femme I, la Grande Femme II, l’Homme qui marche I et l’Homme qui marche II.

Mariánské Lázně, ça ne vous dit rien? C’est probablement parce que, comme moi, vous connaissez le nom français – et allemand – de cette ville et station thermale de la République tchèque, Marienbad, dont on voit ici la colonnade.
Et si une chanson et un film vous viennent en tête en évoquant ce nom, c’est que nous avons les mêmes références culturelles.

Du côté est du mur de Berlin se trouve East Side Gallery, la plus grande galerie d’art à ciel ouvert. Et c’est grâce à cette Trabant de l’artiste Birgit Kinder, une carte postale envoyée par Minna, une Finlandaise qui visitait Berlin pour la première fois, que j’ai découvert l’existence de ce lieu hors du commun. Encore une autre bonne raison de me rendre à Berlin un jour.

Je suis habituée aux paysages de l’île de Santorin où le bleu de l’océan se mêle au bleu des volets. Mais je ne savais pas du tout que Théra, Thira, Fira ou Chora est la ville principale de l’île. C’est cette carte postale qui me l’aura appris…

Dans un ménage, quand on s’entend bien, qu’on a très longtemps vécu ensemble, qu’on s’est usé l’un près de l’autre, on se sent liés par des sentiments profonds, une espèce d’entente sans explications, intérieure, inconsciente, et qui ne ressemble à rien d’autre, n’est-ce pas? (Roger Martin du Gard)
*toile de Paula Vaughan

Je m’installerais volontiers à la terrasse de ce bistrot parisien, le temps de déguster un grand crème et d’écrire quelques cartes postales. Mais pas trop longtemps. Il y a à Paris tellement de musées, de rues, de quartiers, de librairies et d’amis que je voudrais voir ou revoir!

Si vous vous contentez de voir ce qui est évident, vous ne verrez rien. (Ruth Bernhard)
*toile de Stella Epperson

Qui a une passion pour la littérature jeunesse, et c’est mon cas, connait bien évidemment Helme Heine, écrivain et illustrateur. Je ne pouvais donc qu’être charmée par cette illustration envoyée par Nicole, qui enseigne le théâtre à Hambourg.
Une carte postale toute désignée pour souligner le 19 novembre, date à laquelle mon grand-père adoré est allé rejoindre les nuages que j’aimais tant dessiner autrefois.