Le chemin qui mène à toi
Je ne sais d’où il vient, ni comment il mène à toi,
Comment y pénétrer et me transformer en festin pour ses désirs
Je me demandais
Vais-je peut-être y revenir?
Adonis, La forêt de l’amour en nous
*choix de la lectrice de Nouréddine Zekara
Pour les personnages de Gerard ter Borch, Valentina Lisitsa interprétant Traumerei.
Pour la flûtiste de Jan Kupecký, le premier mouvement de la Symphonie no.1 sous la direction de Leonard Bernstein.
Pour les personnages peints par Frank Dicksee, Alexi Kenney, au violon et Ron Regev, au piano dans la Sonate pour violon et piano No. 2 en ré mineur, Op. 121.
Pour les personnages de l’artiste italien Paolo Giovanni Bedini, Hélène Grimaud au piano dans le Quintet pour piano et cordes en mi bémol majeur.
Pour les personnages du peintre Albert Bréauté, Paul Staicu dirigeant l’Orchestre de Montbéliard dans une interprétation du Concerto pour 4 cors op. 86.
Pour les musiciens de Vladimir Egorovich Makovsky, Fantasiestücke opus 73 (transcription pour violoncelle) interpreté par Carlotta Persico et Olivier Cangelosi.
À l’occasion du dernier dimanche de juillet, j’ai invité la bibliothécaire de l’illustrateur Levi Hastings à se joindre à nous. Elle a sûrement beaucoup d’anecdotes à nous raconter! Laquelle de celles-ci choisirez-vous de nous raconter? Préférez-vous nous parler d’elle ou même d’une bibliothécaire de votre entourage?
Libre à vous d’exploiter comme il vous plaira l’aquarelle de ce dimanche. Tant que vous le faites en vos mots, comme le veut l’habitude instaurée il y a plus de cinq ans au pays de Lali.
N’oubliez pas de lire les textes inspirés par les illustrations de la semaine dernière. Ça vous permettra de patienter jusqu’à dimanche prochain, moment où seront validés les commentaires sur celle d’aujourd’hui.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous!
Pour la violoniste signée Berthe Morisot, le premier mouvement du Concerto pour violon en ré mineur mettant en vedette Frank Peter Zimmermann.
Pour les personnages du peintre Sidney Harold Meteyard, Fantasiestücke, Op. 12 Aufschwung, dans une interprétation de Stanislav Bunin.