Fabuleuses
Je ne vais nullement m’aventurer à donner un nom à ces fleurs dénichées par Chantal, mais espérer que quelqu’un qui passera par ici pourra me le dire. Pour le moment, je les appellerai fabuleuses.
Je ne vais nullement m’aventurer à donner un nom à ces fleurs dénichées par Chantal, mais espérer que quelqu’un qui passera par ici pourra me le dire. Pour le moment, je les appellerai fabuleuses.
Le jour à venir n’est pas encore là. Seuls quelques oiseaux brisent le silence de la nuit ou occasionnellement une voiture qui démarre. Elle a ouvert un livre de la pile de la chambre. Au hasard. Parce qu’elle se souvient qu’elle a lu il y a longtemps un livre de cet auteur. Sans jeter un œil sur le quatrième de couverture. Et elle s’est laissée emporter par l’histoire. Il n’y avait plus d’heure. Il n’y avait plus que cette ville dont elle rêve et dans laquelle le narrateur s’était réveillé.
*sur une toile de Réal Fontaine
Le lecteur peint par James Abbott peut ranger son journal, ce n’est pas cette semaine qu’il va trouver des nouvelles farfelues dans la section Finance, mais le samedi 2 mai, dans sept jours exactement, alors que le journal du pays de Lali publiera son édition mensuelle des nouvelles débridées.