Quelques lignes de Gilbert Langevin 4
C’est à la lectrice du peintre italien Giovanni Costa que j’ai prêté ce soir le recueil de Gilbert Langevin, Entre l’inerte et les clameurs. Un de ces recueils duquel nul ne peut sortir tout à fait intact et dont elle a tiré cet extrait :
Sans inimitié
s’enfuir en soi
emprunter prestement
l’escalier qui conduit
au cellier de l’oubli