Les poèmes de Cristina 3
l’heure dort sur la table
la tête allongée sur mes miettes de silence
je me compte une à une
je ne ferai jamais deux
une fenêtre
ouverte sur la cour des porteurs de lumière
cimente mes talons dans l’asphalte de la ville
comment trouver l’autre poignée du soleil
si je ne sais pas m’envoler
Cristina Montescu, Qui ne naîtra pas
*choix de la lectrice de James Durden