Les racines de l’ombre 2
fracas
pour tout orchestre
où tout s’entend
comme un tambour de peurs
Bruno Roy, Les racines de l’ombre
*choix de la lectrice de Victor Gabriel Gilbert
fracas
pour tout orchestre
où tout s’entend
comme un tambour de peurs
Bruno Roy, Les racines de l’ombre
*choix de la lectrice de Victor Gabriel Gilbert
D’aucuns pourraient imaginer qu’un livre sans texte n’offre aucun intérêt. Et pourtant, l’album intitulé Le parapluie que signent Dieter et Ingrid Schubert est un peur ravissement et offre une infinité de possibilités tant pour le parent lecteur que pour l’enfant. Celui-ci peut inventer sa propre histoire et suivre l’ours et son parapluie dans leur course autour du monde en ne tenant pas compte de la logique et en suivant le fil de son imagination.
Ce n’est donc jamais tout à fait la même histoire. Ce ne sont probablement pas non plus les mêmes mots, voire même le même ordre si jamais quelqu’un décidait de le parcourir de la fin au début ou alors d’inventer une histoire en ouvrant le livre au hasard.
D’aucuns, donc, peuvent continuer à penser ce qu’ils veulent des livres sans texte. Ou alors, ils peuvent ouvrir Le parapluie et constater qu’ils se trompent grandement…
Qu’elles soient à Bruxelles ou à Villers-la-Ville, les fleurs se parent toujours de leurs plus beaux atours quand elles savent Armando pas loin…
Tous les jours, et encore plus en ce moment, je me pose une question. Pourquoi a-t-il fallu que la Nouvelle-France ne longe pas l’Atlantique? Mais nul ne peut me fournir la réponse.
*illustration de Gürbüz Dogab Eksioglu
Parce que, de temps en temps, assez régulièrement devrais-je dire, Beethoven est exactement ce qu’il faut pour partir du bon pied une journée, me vient l’envie de vous offrir sa Sonate pathétique, dans une interprétation du pianiste portugais Artur Pizarro. Pour le plaisir. Juste pour cette raison.
Une pensée peut tenir sur une tête d’épingle tout comme englober l’Univers entier. Elle n’a aucune limite d’espace ou de temps. (Richard Carta)
*toile de David Hettinger