Rayons de soleil sur du rose
Pour que s’attendrisse notre regard alors que se profile la dernière journée de travail de la semaine!
Pour que s’attendrisse notre regard alors que se profile la dernière journée de travail de la semaine!
Elle restait là des heures avec pour toute musique le roulis des vagues qui venaient mourir sur le sable, parfois perturbé par quelque goéland qui, comme elle, cherchait son chemin.
Le livre ne lui disait pas où aller, pas plus que le ciel. Seule l’écume blanche semblait lui dire là-bas, en indiquant un point vague à l’horizon. Si imprécis que ça ne pouvait être là un itinéraire. Tellement imperceptible par contre, que ça ne pouvait s’adresser qu’à elle.
Elle restait là des heures et ne rentrait que quand les battements de son cœur couvraient le chant des sirènes.
*sur une toile d’Iluminada Garcia Canas
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