Lali

6 septembre 2020

En vos mots 700

Filed under: Couleurs et textures,En vos mots — Lali @ 8:00

Est-ce ce qu’il lisait qui a épuisé le lecteur peint par Franco Americano ou s’il était fatigué par une autre occupation? À vous de nous le dire, en vos mots, comme vous le faites semaine après semaine depuis plus de treize ans.

C’est avec plaisir que nous vous lirons la semaine prochaine, car aucun commentaire ne sera validé avant. D’ici là, profitez-en pour lire les textes déposés sur l’illustration de dimanche dernier et pour les commenter, si vous le souhaitez.

Que ce premier dimanche de septembre soit agréable. Et que la semaine le soit tout autant!

2 commentaires »

  1. Je lui ai dit : j’en ai pour cinq minutes à peine et j’arrive. Il me semble l’avoir répété les mêmes mots, quelque trois quarts d’heure plus tard. Peut-être plus.

    Je n’étais alors qu’aux prémices d’un récit d’une vie qui m’était familière. Des mots qui disent les chemins sinueux sans trop comprendre les pourquoi. Parce que c’est ainsi. Parce que c’est la vie. Comme on nous a appris à le penser et à le dire.

    Puis, des mots aux images qui défilent devant nos yeux fermés, il n’y a qu’un soupir. Un pincement de cœur. Une larme. Un sourire triste. Mais un sourire quand même. On se demande pourquoi les douleurs semblent toujours épaisses et immobiles, alors que les bonheurs sont toujours éphémères et volatiles.

    Ni l’éloignement, ni la couleur sépia du temps, n’a rien changé aux souvenirs. Seulement on a appris à les laisser sommeiller le plus longtemps possible. Pour profiter au mieux des années que la vie veut nous offrir.

    Pour le bonheur d’un air de Massenet. Pour s’endormir sans nuages.

    Elle avait fini par s’endormir. Depuis bien longtemps. Lasse de m’attendre.

    Comment by Armando — 7 septembre 2020 @ 4:30

  2. Du n’importe quoi
    Dans tous ces journaux,
    De mauvaise foi,
    Menteurs et vénaux.

    Toujours ces médias
    Semant les ragots,
    A hue et à dia
    Tirant les infos.

    Celui qui les lit,
    Ces foutus canards,
    Il se ramollit
    Dans ce traquenard.

    Sombrant dans l’oubli,
    Et sans nul pouvoir,
    Il tombe, affaibli…
    Et rêve d’espoir!

    Comment by anémone — 11 septembre 2020 @ 17:33

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