Dans le meilleur des cas, la poésie est une figuration consolante de la mort, une image où la distance entre le regard et l’objet réalise le miracle du retournement : j’écris, j’écoute la chanson de la terreur, l’épigramme du souvenir ou le poème de l’amour tâtonnant (les yeux bandés, les membres écorchés), et du rien de ces mots s’élève comme une joie, une étoile versant jusqu’à nous l’éclat débile, mais vivifiant, de sa propre mort. (Michel Orcel)
C’est à Oaxaca, au Mexique, que cette photo a été prise. Un bel envoi de mon amie Anne, qui n’a pas porté de chapeau depuis très longtemps et qui se laisserait volontiers tenter par l’un de ceux-ci.
La Place du Commerce (Praça odo Comércio) est l’un des endroits de Lisbonne à ne pas manquer, affirme Isabel, qui m’a envoyé cette carte postale. Armando sera-t-il de cet avis et aura-t-il une anecdote pour nous?
Déjà le dernier dimanche de février. Décidément, le mois le plus court de l’année a passé à toute vitesse. Mais il est loin de nous avoir donné un avant-goût du printemps en raison de la neige qui n’a cessé de s’accumuler et des 20 degrés sous zéro auxquels nous avons eu droit plus d’une fois.
Souhaitons que mars qui sera là dans trois jours change la donne! Pour l’heure, je vous invite à faire vivre ce tableau du peintre Carl Nysen vos mots, comme vous le faites semaine après semaine depuis environ quinze ans. C’est avec plaisir que nous vous lirons dimanche prochain lors de la validation des textes reçus. Profitez-en pour lire les textes déposés sur la scène livresque de la semaine dernière et même de les commenter.
Sur ce, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.
Les cartes postales nous transportent dans des endroits dont nous ignorions l’existence et que nous ne verrons probablement jamais. C’est le cas de celle-ci, montrant le salar d’Uyuni, en Bolivie, considéré comme le plus vaste désert de sel au monde.
Depuis toujours, je suis fasciné par les musiciens. J’ai beau savoir que leur technique, leur virtuosité sont le fruit d’heures de pratique et de milliers d’exercices enchaînés, pour moi, ce sont des magiciens, des prestidigitateurs. Je regarde leurs doigts courir à une vitesse surnaturelle sur le clavier et, chaque fois, j’ai l’impression d’assister à un miracle. (Hélène Gestern)
Un joli bouquet, une carte postale qui m’a été envoyée d’Allemagne. J’ai tout de suite pensé à Romain et à Victor quand j’ai vu trouvé cette jolie carte dans ma boîte aux lettres. Chantal aussi, sûrement.