Paysage 1
Ni les yeux ni la voix ne sont assez vastes,
généreux, ce qu’ils désirent, ils doivent,
d’avance, dans la distance, en être la lumière :
la vague n’est chez elle, fidèlement,
qu’en débordant la vague.
Pierre Dhainaut et Caroline François-Rubino, Paysage de genèse
*choix de la lectrice d’Odilon Redon