Les vers de Justine 2
La plaine est déserte
tu ne viens pas
je n’ai jamais voulu autre chose
que boire le café du matin avec toi
encore les étoiles filantes
comme tes errances
criblent le toit
la maison vogue dans la nuit
serais-je à jamais blessée d’étoiles
Justine Coux, Carnets du chêne rouge
*choix de la lectrice de Charle-Clos Olsommer